On ira

Un film de Enya Baroux

Synopsis

Marie, 80 ans, en a ras le bol de sa maladie. Elle a un plan : partir en Suisse pour mettre fin à ses jours. Mais au moment de l’annoncer à Bruno, son fils irresponsable, et Anna sa petite-fille en crise d’ado, elle panique et invente un énorme mensonge. Prétextant un mystérieux héritage à aller chercher dans une banque suisse, elle leur propose de faire un voyage tous ensemble. Complice involontaire de cette mascarade, Rudy, un auxiliaire de vie tout juste rencontré la veille, va prendre le volant du vieux camping car familial, et conduire cette famille dans un voyage inattendu.

Le sujet de l’euthanasie est toujours délicat à traiter. En France le débat qui devrait avoir lieu à l'assemblée nationale est sans cesse remis. Il ne s’agit pourtant pas d’ imposer l’euthanasie, mais juste que chaque personne puisse choisir, en son âme et conscience une fin de vie en toute dignité et indépendance.
Donc, la solution reste de partir à l’étranger, Belgique, Espagne ou Suisse.

Marie, sa souffrance devenant insupportable et la certitude qu’aucun traitement ne pourra la sauver décide de franchir ce pas.
La difficulté est pour elle d’annoncer cette décision à Bruno son fils et à Anna sa petite fille. C’est Rudy, son auxiliaire de vie, au courant de la raison du voyage qui conduira le camping-car.
Bruno est surendetté, rêveur, toujours à la recherche d’argent, capable de voler sa fille, il croit que sa mère va en Suisse pour faire un héritage.
Cette « road movie » permet à notre petit groupe de faire quelques rencontres originales. Ce voyage va aussi leur permettre de grandir, de se parler et de se comprendre.

Mon mari a beaucoup aimé ce film.
Je suis hélas restée en dehors de cette histoire.

Distribution

Hélène Vincent : Marie
Pierre Lottin : Rudy, l'auxiliaire de vie de Marie
David Ayala : Bruno, le fils de Marie
Juliette Gasquet : Anna, la petite-fille de Marie

Gabin Visona : Diego
Henock Cortes : Yago
Brigitte Aubry : Simone
Jeanne Arènes : la banquière
Nicolas Lumbreras : le fossoyeur
Ariane Mourier : la femme de l'ADMD (Association pour le droit de mourir dans la dignité)
Fannie Outeiro : la médecin

Les Collectionnistes

1870, Paul Durand-Ruel, marchand de tableaux réfugié à Londres, rencontre Claude Monet.
De retour à Paris, ce dernier lui présente Renoir, Degas, Pissarro… de jeunes peintres dont il perçoit aussitôt le génie et la modernité.
Enthousiasmé par le talent de ces artistes qu’on ne qualifie pas encore d’Impressionnistes, il achète sans compter jusqu’à ce que les huissiers frappent à sa porte !
Et puisque derrière chaque grand homme se cache une femme, vous découvrirez une Madame Durand-Ruel séductrice et espiègle, prête à tout pour sauver sa famille du désastre et aider son mari à vendre coûte que coûte !

Une pièce de François Barluet.

Mise en scène de Christophe Lidon. 

Avec, de gauche à droite :

Christophe de Mareuil, Victor Bourigault (Renoir), Christelle Reboul, Frédéric Imberty.

Un joli cadeau pour nos noces d’or, cette délicieuse pièce, jouée au Théâtre Montparnasse. Merci!
Accompagnés par notre fille et notre gendre, nous nous sommes régalés de cette pièce rendant hommage à Paul Durand-Ruel, marchand d’art et découvreur de nouveaux talents non académiques.
C’est joli, plein de tendresse et d’amour, un moment hors du temps et la découverte d’un couple dont j’ignorai l’existence, qui permit à bien des peintres de pouvoir s’épanouir dans leur art, sans trop de privations.
Madame Durand-Ruel, interprétée par la ravissante Christelle Reboul est donc à l’origine du nom « impressionnisme »!

Noces d'OR

15 mars 1975

Nos fiançailles le 28 juillet 1974

1976, quelque part en Ariège!

Juillet  2005 à Vigneux sûr Seine

Juillet 2006 à Vigneux sûr Seine

Avril 2007 pour un mariage à Lormont

 

Mars 2008 Montpellier

21 Décembre 2009 Aubord

22 avril 2010 bambouseraie d' Anduze

18 août 2010 Lou Clapas Milhaud

7 août 2011 Vigneux sur Seine

Septembre 2012 Morlaas

Juin 2013 Vigneux sûr Seine

Avril 2014 Aubord

Irlande octobre 2014

Août 2015 Puy du Fou 

Septembre 2016 La tour Carbonnière, Saint-Laurent-d' Aigouze.

2017 Les Baux de Provence et à la maison!  

2018 Quelque part en allant à Bergerac  et Anduze 

Février 2019 Promenade en petite Camargue 

2020 année covid! 

2021 

2022, l'année de tous les dangers! 

Il n'a pas voulu sauter avec moi!

2022

Glanum!

2023

2024

En Bretagne

et à Saint-Malo

Le 18 août 2024

pour mon anniversaire

Février 2025

NICE: La bataille des fleurs

Le corso fleuri des cinq batailles de fleurs est composé d’une quinzaine de chars ornés de fleurs fraîches, entourés et précédés d’artistes de rues.

Cet évènement met en avant la grande diversité florale de la région puisque 80% des fleurs utilisées sont produites localement.
Les fleuristes investissent l’espace de la Halle Spada pendant 72 heures avant chaque manifestation et réalisent le piquage des fleurs fraiches : au total, 250 000 tiges de fleurs et 21 tonnes de mimosas sont distribuées au public.

Les costumes, uniques, sont créés dans un atelier éphémère dédié au Carnaval par des costumières du monde du spectacle avec les tissus et matériaux originaux.

Aujourd’hui, le corso fleuri des cinq batailles de fleurs est composé d’une quinzaine de chars ornés de fleurs fraîches, entourés et précédés d’artistes de rues exceptionnels.

Sur chaque char, figurent de nombreux mannequins (une majorité de femmes) qui lancent 80 à 100 000 fleurs : glaïeuls, mimosas, gerberas, marguerites, roses, oeillets.

Chaque année, un casting est réalisé avec de jeunes candidats motivés âgés de 18 à 30 ans, aux talents de danseurs, danseuses ou des arts circassiens.

C'est une petite selection de photos, le choix n'est pas évident.

Les fleurs restantes sont offertes au public à la fin du corso.

Les animateurs de notre groupe nous avaient averti, le corso de Menton est beaucoup plus agréable que celui de Nice qui lui est plus sophistiqué. Je confirme, malgré la beauté des chars de Nice, nous avons préféré Menton.

Nous devions, à la fin du défilé récupérer des fleurs et un concours de bouquets était prévu…Mais les animateurs ont sonné le rassemblement et nous sommes partis très vite, trop vite…Pas de fleurs, plus de concours…Une petite deception quand même.

Un immense bravo à toutes les personnes qui ont, par leur talent, par leur travail contribué à décorer les chars, à les animer avec le sourire et à nous donner, à Menton comme à Nice beaucoup de plaisir.