Adieu les cons

 

Un film d'Albert Dupontel

Synopsis

Lorsque Suze Trappet apprend à 43 ans qu’elle est sérieusement malade, elle décide de partir à la recherche de l'enfant qu’elle a été forcée d'abandonner quand elle avait 15 ans.
Sa quête administrative va lui faire croiser JB, quinquagénaire en plein burn out, et M. Blin, archiviste aveugle d’un enthousiasme impressionnant. À eux trois, ils se lancent dans une quête aussi spectaculaire qu’improbable.

Pourquoi ce film?

Parce que DUPONTEL !
Je pense avoir découvert l’humour très noir de Dupontel dans les années 90, puis avec le film « Bernie » ce bébé « Poubelle ».
Nous (mon mari et moi) aimons le retrouver lors de la sortie de ses films.

Mon avis sur le film :

C’est un drame, un vrai drame et si parfois nous sourions, rions, c’est que Dupontel désamorce pour ne pas tomber dans le pathos.
Lorsque Suze apprend qu’elle va mourir, elle décide de retrouver son fils. Elle rencontre un JB en plein burn out et un archiviste aveugle. Étonnant trio qui part à la recherche de l’enfant perdu.
Étrange film ou jamais les personnages ne réagissent pas comme on s’y attend.
Virginie Efira -Suze Trappet-, Albert Dupontel - JB- et Nicolas Marié -M. Blin- sont excellents. 

C’est le cinéma que j’aime ! 

C'est le cinéma que mon mari aime ! 

Un petit peu de moi :

Voilà des années que je vais au cinéma le jeudi après-midi, très longtemps seule, puis depuis qu’il est à la retraite, avec mon mari.

C’est sympa le jeudi, souvent nous sommes quatre, cinq ou six. Parfois une dizaine. 
Une fois, pour « Un long dimanche de fiançailles » il y avait deux classes de collégiens. Scotchés par ce film, ils ont applaudi.
Aujourd’hui nous étions plus nombreux, mais bien séparés les uns des autres. 

Parents d' élèves

Un  film de Noémie Saglio

Synopsis

Vincent, trentenaire sans enfant, infiltre une tribu aux codes et au langage mystérieux : les parents d’élèves. Se retrouver aux réunions parents-prof, aux sorties d’école et à la kermesse de fin d’année relève d’un sacré exploit ! Mais voilà, Vincent a une très bonne raison d’être là et finit même par se sentir bien dans cette communauté un peu spéciale…

Pourquoi ce film ?

Vincent Dedienne que j'ai connu en regardant Quotidien.

Mon avis sur le film:

-Vincent Dedienne -Vincent et -Camélia Jordana- Nora Portel sont tous les deux excellents. Le petit Bart Canova -Oscar Pauleau- est touchant dans le rôle d'un enfant sans père.

Bien sûr quelques rires, des situations cocasses, des moments tendres et attachants.

Une gentille comédie tout public.

Le film a d'excellentes critiques, critiques spectateurs, critiques presse, 

mais je suis passée complètement à coté .

Au revoir là-haut

 

Synopsis 

Un film d' Albert DUPONTEL 

En novembre 1920, Albert Maillard est interrogé par un officier de la Gendarmerie française, au Maroc. 

À travers son témoignage, il raconte la fin de sa participation à la Première Guerre mondiale, sa rencontre avec Édouard Péricourt, fils de bonne famille parisienne, défiguré lors du conflit. Ensemble, ils montent une opération d'escroquerie. De son coté Henri d'Aulnay-Pradelle, leur ancien lieutenant «va-t-en guerre », est devenu lui aussi escroc. Il est même parvenu à intégrer la famille Péricourt, dont le patriarche règne sur la classe politique parisienne.

Pourquoi ce film:

J'ai lu le roman en 2014 (Mon avis ICI) et j'avais à l'époque était déçue par la place des femmes dans ce roman. Je n'avais pas eu le désir d' aller plus loin. 

Et pourtant, j'attends toujours la sortie des films de "Dupontel" 

J'étais entre deux lectures! C'est l'occasion de la programmation TV qui a fait le larron! 

J'ai passé une bonne soirée, j'ai même écrasé une petite larme.

J'ai trouvé qu' Albert Maillard -Albert Dupontel- collait parfaitement à cette époque où les classes sociales sont très distinctes. -Laurent Lafitte- interprète magistralement le lieutenant Henri d’Aulnay-Pradelle.

Comédie dramatique française co-écrite et réalisée par Albert Dupontel, sortie en 2017.

Il s'agit d’une adaptation du roman du même nom de Pierre Lemaitre, prix Goncourt 2013.

OCTOBRE

Octobre c’est pour moi, le vent chaud d’Espagne qui souffle et qui s’engouffre dans les arbres faisant s’envoler les feuilles aux magnifiques couleurs.

C’est le sol, recouvert de ces feuilles, faisant des tapis multicolores.

C’est l’odeur de la pluie dans les sous-bois, l’odeur des châtaignes grillées, l’odeur d’une flambée, ce sont aussi les courses folles pour rentrer avant la pluie !

C’est le châle d’une grand-mère posé sur une chaise, c’est la tendresse après l’école.

Octobre c’est l’enfance.

Vous vous en doutez ! J’aime l’automne ! J’aime Octobre !

Écrit le premier octobre 2020.