L'homme qui rétrécit

Un film de Jan Kounen

D'après le roman de  Richard Matheson publié en 1956

Synopsis 

L’homme qui rétrécit nous entraine dans le sillage de Paul, un homme ordinaire, qui partage sa vie entre son entreprise de construction navale, sa femme Elise, et leur fille Mia. Lors d’une sortie en mer, Paul se retrouve confronté à un étrange phénomène météorologique inexpliqué. Dès lors, Paul rétrécit inexorablement, sans que la science ne puisse lui expliquer pourquoi ni lui être d’aucun secours. Quand, par accident, il se retrouve prisonnier dans sa propre cave, et alors qu’il ne mesure plus que quelques centimètres, il va devoir se battre pour survivre dans cet environnement banal devenu périlleux. Lors de cette expérience, Paul va se retrouver confronté à lui-même, à son humanité, et tentera de répondre aux grandes interrogations de l’existence. L’homme qui rétrécit est tout à la fois un récit initiatique et un grand film d’aventure.

Nous avons apprécié ce film. Jean Dujardin est un excellent acteur, (ce n’est pas une découverte!). Il porte ce film. Un bon moment de cinéma.

Le roman de Richard Matheson publié en 1956 est adapté au cinéma une première fois en 1957 et réalisé par Jack Arnold.

Dans mon souvenir, la portée philosophique du film est moins présente que dans le film de Jack Arnold.

Cette impression, cette sensation où l’infiniment petit rejoint l’infiniment grand ne m’a pas autant bouleversée. J’ai vu la première version à la télévision, dans les années 80. Scott Carey (interprété par Grant Williams) est devenu Paul…

Ce film rend hommage à 

Georges Méliès 

Richard Matheson 

Jack Arnold

Grant Williams

Distribution:

Jean Dujardin : Paul
Marie-Josée Croze : Élise
Daphné Richard : Mia
Salim Talbi
Serge Swysen

KAAMELOTT deuxième volet (partie 1)

Un film d' Alexandre Astier

Synopsis

Les Dieux sont en colère contre Arthur ! Après la destruction de Kaamelott, son refus obstiné de tuer Lancelot précipite le Royaume de Logres à sa perte. Il réunit ses Chevaliers, novices téméraires et vétérans désabusés, autour de la Nouvelle Table Ronde et les envoie prouver leur valeur aux quatre coins du Monde, des Marais Orcaniens aux terres glacées du Dragon Opalescent.

Une très grosse déception!

Nous sommes complètement passés à coté de ce volet.

Nous irons voir la partie 2 en novembre 2026, pour ne pas rester sur cette déconvenue.

Jardin méditerranéen

Nous avons décidé de changer de décor, 

et pour être en accord avec notre région, 

de créer un jardin méditérnéen.

Quand je dis "on", "moi" c'est l'idée, et Pierre la réalisation.

On a déposé une bache sur le terrain.

On a ajouté du gravier rose 

On a gardé l'hortensia, le yucca Yann, deux rosiers grimpants

et un rosier entouré de fleurs sauvages (venues là de leur plein gré).

Il faut nettoyer les murs…

Peindre la table et les chaises .

Et attendre les beaux jours pour partager un verre!

Une bataille après l'autre

Un film de Paul Thomas Anderson
Adaptation libre du roman "Vineland" de Thomas Pynchon 

Synopsis :

Ancien révolutionnaire désabusé et paranoïaque, Bob vit en marge de la société, avec sa fille Willa, indépendante et pleine de ressources. Quand son ennemi juré refait surface après 16 ans et que Willa disparaît, Bob remue ciel et terre pour la retrouver, affrontant pour la première fois les conséquences de son passé…

Le film est plutôt bien coté. Nous avons aimé.
Leonardo DiCaprio et Sean Penn sont excellents (comme toujours).

Des révolutionnaires, des frontières à protéger, ou des immigrés (clandestins ou pas!) à défendre… Des suprémacistes jusqu’à la caricature, un DiCaprio désabusé protecteur d’une ado ravissante mais parfois désobéissante.

Un film d’action, des cascades, des poursuites mais aussi une réflexion sur l’immigration, sur le racisme, et humour noir.

Distribution 

Leonardo DiCaprio : Pat "Ghetto" Calhoun / Bob Ferguson
Sean Penn: le colonel Steven J. Lockjaw
Benicio del Toro : Sensei Sergio St. Carlos
Regina Hall : Deandra
Teyana Taylor : Perfidia Beverly Hills
Chase Infiniti : Charlene Calhoun / Willa Ferguson
Alana Haim : Mae West
Wood Harris : Laredo
Shayna McHayle : Junglepussy
Starletta DuPois : Grand-mère Jennie
D. W. Moffett : Bill Desmond
Tony Goldwyn : Virgil Throckmorton
James Raterman : Danvers
Bryan Pickens : Billy Toejam
John Hoogenakker : Tim Smith
Paul Grimstad : Howard Sommerville
Dijon Duenas : Talleyrand
Kevin Tighe : Roy More
Jim Downey : Sandy Irvine
Eric Schweig : Avanti
Jena Malone : le code d'accueil (voix)

Sirāt

Un film d' Olivier Laxe
Scénario : Oliver Laxe, Santiago Fillol

Synopsis

Au cœur des montagnes du sud du Maroc, Luis, accompagné de son fils Estéban, recherche sa fille aînée qui a disparu. Ils rallient un groupe de ravers en route vers une énième fête dans les profondeurs du désert. Ils s’enfoncent dans l’immensité brûlante d’un miroir de sable qui les confronte à leurs propres limites.

On appelle « Sirāt » le pont qui relie l'enfer et le paradis.

Un homme (Sergi Lopez) marche dans ce qui semble être un désert… au Maroc
Il marche…marche…marche…Il finit par arriver devant un mur d’enceintes musicales.
Il rejoint son fils, leur chien, ils distribuent des photos, ils cherchent leur fille et soeur, disparue depuis cinq mois.
On se demande bien pourquoi, il décide de suivre deux cars de musiciens "raveurs" qui partent pour la Mauritanie.
Ils nouent quelques relations avec ces musiciens très surprenants, vivant au jour le jour et allant de rave en rave …

C’est un film violent, c’est un film dur, c’est un film atypique.
Il brille par le talent des acteurs, il brille par une réalisation surprenante.

C’est un film qui amène au dialogue… La première question étant sans doute…Ça dit quoi? Qu’as-tu compris?

C'est aussi ce cinéma qu'on aime, qui amène au dialogues, aux interrogations.

Et finalement un moment de cinéma atypique, comme nous les aimons. 

Mais peut-être pas pour tous les publics.

Distribution:
Sergi López  : Louis
Bruno Núñez Arjona : Estéban
Kangding Ray : Compositeur

Richard Bellamy : Bigui // Stefania Gadda  : Stef  // Joshua Liam Henderson : Josh
Tonin Janvier  : Tonin  // Jade Oukid : Jade // Ahmed Abbou  : Pastor bereber
Abdellilah Madrari : Vendedor gasolina 1 // Mohamed Madrari : Vendedor gasolina 2

Les seuls acteurs professionnels sont : Sergi López (Louis) et Bruno Núñez Arjona : (Estéban)

Canada Dream 2!

14 septembre

Nous prenons nôtre première « gondole » sous la pluie. On dit « gondole », j’aurai dit « œufs » pour ce type de remontées mécaniques.

Nous traversons un très beau parc

et nous découvrons la cascade, 

« Les chutes shannon » 

au moins aussi haute que celles du Niagarra, 

mais avec un débit moindre.

Nous sommes sous la pluie!

Mais notre bonne humeur reste intacte!

15 septembre.

Nôtre premier arrêt est au lac Duffey. 

Et déjà cette superbe couleur émeraude 

que le lac doit à la pureté de l’eau se déversant des glaciers. 

À Lilloet, village de la réserve indienne de Bridge River 1, nous rencontrons cet autochtone.

J'ai oublié son nom, mais on peut le trouver sur ce site web : "Bearfoot Grill".

Il fait parti de ces enfants arrachés à leurs parents.

Dès qu'il a pu revenir, il a eu le bonheur de retrouver son père et sa mère 

et de redécouvrir sa culture autochtone.

Sa sœur n'a pas voulu revenir et son seul fils est parti vivre en ville. 

Nous avons assisté à la préparation du saumon afin de le faire sécher.

Il nous a présenté différents habitats, hutte d'été, hutte d'hiver.

Mais il a néanmoins précisé qu'aujourd'hui ils avaient électricité, eau courante et vie moderne.

Nous découvrons juste une part de leur histoire, et il nous demande de ne pas hésiter à en parler, à leur faire de la publicité qui leur permet de continuer d'exister.

Nous mangerons avec lui, un repas typique, surprenant par ses saveurs, mais excellent. 

Une très jolie rencontre! 

Nous sommes alles visiter un ranch : « Historic Hat Creek Ranch hôtel », bâtiment datant du début 1861 et histoire de la ruée vers l’or.

 

À SUIVRE

Canada dream!

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours rêvé d’aller un jour au Canada, et plus particulièrement découvrir l’ouest canadien, et l’île de Vancouver, réputée pour sa nature sauvage et son écologie.
Des grèves risquant de perturber nôtre départ, nous sommes partis le 9 septembre, au lieu du 11, et avons réservé un hôtel proche de l’aéroport Charles de Gaulle.
Nous nous somme envolés le 11, à 10h25, pour 9 heures de vol.
À notre arrivée nous avons intégré un groupe. Onze personnes, une accompagnatrice, Manon, venue de France, une guide québécoise, Mélanie, et le chauffeur, Hardial.

Manon, Pierre & Joëlle, Colette & Raymond, Jean-Paul & Nicole, Mélanie, Isle, Brigitte & Charles, Véronique & Jean-Yves

À peine arrivés, nous avons visité la ville de Vancouver. Une ville moderne, en pleine expansion. Nous avons marché pratiquement deux heures alors qu’une heure seulement était prévue. Nous avons pensé que nôtre charmante guide québécoise, Mélanie, voulait nous épuiser.

12 septembre 

On a volé par Fly over au-dessus du Canada. Une belle expérience qui nous fait découvrir cette région, ses grandes étendues, en hiver, en automne… Un film superbe qui survole le pays. 

Nous avons visité Grandville. Si son marché couvert ne nous a pas emballé, similaire aux nôtres, la petite ville est tout à fait charmante. Nous avons eu droit à une guide local agréable, parlant le français… enfin, essayant de parler français, heureusement Mélanie était là pour traduire… et finalement lui a demandé de parler anglais ! 

Au détour des allées de Stanley Park nous avons découvert des Totems travaillés dans les cèdres rouges, pour la plupart récents. Ils reflètent la volonté des peuples premiers (autochtones) de garder leur culture, leur savoir-faire et leurs coutumes. 

Un cèdre rouge

Nous avons pris le bus pour traverser le quartier chinois, puis le quartier le plus pauvre de la ville où bien sur nous n’avons pas pris de photos.

La sculpture « A-labyrinthe-ing Raughter » de Yue Minjun présente 14 statues en bronze représentant des hommes qui rient. Installée dans le parc Morton de Vancouver, l’œuvre d’art reflète la représentation de la joie de l’artiste. Il fait partie de la Vancouver International sculpture Biennale.

13 septembre

Nous sommes partis pour Victoria. La traversée en ferry a été agréable.
Et nous voilà dans la jolie petite ville de Victoria.

14 septembre

Nous avons fait une croisière de trois heures pour aller à la rencontre des baleines !

Quelle surprise ! quelle joie ! Même nos accompagnateurs n’avaient jamais vu ça…Des baleines jouant au loin, plus précisément des orques…Puis apparait un jet… et une superbe baleine à bosse. Elle se dirige vers nous…plonge et passe sous nôtre bateau…Le souffle un peu coupé… Risque-t-elle de remonter et de nous faire chavirer ? Un moment magique ! Une émotion intense et du bonheur !

 

Une île, des lions de mer se chevauchent, se reposent…

Ils sont la nourriture principale des orques… Mais le savent-ils ?

À SUIVRE