Introduction

La lecture est un de mes loisirs préféré, et afin de le partager, d' abord avec ma fille, puis pourquoi pas avec vous, j' ai crée "Les lectures de Joëlle".
Mais j' aime aussi aller au cinéma (trop peu à mon goût), au théâtre (si rare!).
J'aime faire avec mon mari de grandes promenades dans la nature mais aussi visiter les villes.
Découvrir les musées, et au rythme de nos pas les rues, les façades des maisons et leur histoire, l' histoire des gens qui y vécurent et parfois y vivent encore.
Et comme j' aime aussi écrire... Je viendrai ici partager mes émotions, mes "échappées" du quotidien avec vous.

mardi 12 avril 2016

Le Marais Poitevin (6 avril)


Levés de bonne heure, nous avons fait le tour du village, mais tout dormait encore, ou presque. Pour passer le temps nous décidons de marcher jusqu'à l'écluse.

 Nous avons emprunté le même chemin qu'avec les vélos,

 photographié les berges, la maison typique des marais, accès par voie d'eau uniquement.


Enfin l'écluse!
 

Il est un peu tôt, alors nous décidons de traverser l'écluse et de nous promener dans le marais.


Mon photographe est à l'action (…ou pas!)






Nous avons découvert ces arbres, couchés par la tempête de l'hiver dernier.
Des peupliers, devenus des "Chablis" (comme le bordeaux!)


 

Ces arbres, dont les racines courent sûr le sol ont une faible résistance aux vents violents et se couchent, laissant apparaître  un mur de végétation. Ils deviennent dangereux pour les bûcherons. 

Puis des frênes "têtards"

Le ciel est clément, la route est longue


 Mais je garde le sourire!




 Nous n'étions partis que pour une heure, nous avons croisé des randonneurs qui faisaient demi-tour, des cyclistes, qui nous ont dit venir de Coulon, et retourner à Coulon par une boucle.
Faire demi-tour, savons-nous seulement ce que cela veut dire?
Nous avons traversé la dernière scierie des marais en activité, arrivés à Le Vanneau, nous avons pris la route d'Irleau, mangé et surtout bu dans ce village. Partis pour une petite heure, nous n'avions pas d'eau… Il ne nous restait que quelques kilomètres pour revenir à notre point de départ…et six heures de marche plus tard, nous avons retrouvé notre chambre!
Ce qui doit faire de nous des inconscients, 25 kilomètres, sans eau…sans même un morceau de sucre!
Mais le pire, c'est que nous nous sommes vraiment éclatés dans cette nature, où les oiseaux vont beaucoup trop vite pour qu'on les photographie, et où les vaches vous regardent passer sans s'émouvoir!



            à suivre !

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